A propos de la violence (article en cours)

Suite aux évènements dramatiques récents, je m’interroge sur la nature de l’Homme.

Pour commencer, j’ai décidé de partager certains éléments de mes recherches pour entrevoir des solutions possibles pour bannir la violence de notre quotidien.

Pour cela, j’ai besoin de savoir si la violence est ancrée dans nos gènes et, si c’est le cas, à quel moment a-t-elle été codifiée.

Ensuite, je souhaite savoir ce qui l’alimente, la renforce et s’il est possible de déprogrammer notre cerveau afin de remplacer les actes/pensées violents par des actes/pensées non-violents.

Je ne sais pas exactement où me mèneront ces recherches.

Je vais donc me servir de cet article pour regrouper des citations et des réflexions qui me paraissent dignes d’intérêt. Vous êtes bien sûr les bienvenus pour enrichir le débat.

Définition :

La violence est l’utilisation de force physique ou psychologique pour contraindre, dominer, causer des dommages ou la mort. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance (source).

Référence 1 : « Devenir humains » d’Yves Coppens

devenir humains

« Depuis 3 millions d’années, l’humanité est prédatrice, et aussi de sa propre espèce, ce qui, à juste raison, révolte. Sa cruauté, sa destruction des idoles d’avant, son appétit de pouvoir, de territoire, et son peu d’inclination à partager ses dieux en font la plus dangereuse des espèces. C’est l’autre face de sa liberté.

Et un coup d’oeil sur l’avenir. Les espèces n’ont qu’un temps. Et si l’Homo sapiens, qui est toujours un être vivant soumis aux lois de la biologie, trouve la parade à toutes les agressions naturelles dont il est l’objet et parfois la victime, alors, il pourra continuer à développer son environnement culturel, découvrir et inventer, se déployer et se multiplier, conquérir l’Univers et changer d’espèce au bénéfice d’un nouvel Homme que l’on peut imaginer plus tolérant. Son avenir surprendra nos enfants, comme son passé et son présent l’on fait à nos yeux et le feront, nous en sommes persuadés, à ceux des visiteurs du nouveau musée de l’Homme. » Yves Coppens

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