« Walden ou la vie dans les bois » de Henry David Thoreau

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En plein XIXe siècle, dans le pays qui est en passe de devenir le plus industrialisé du monde, Thoreau tourne le dos à la civilisation et s’installe seul, dans les bois, à un mille de tout voisinage, dans une cabane qu’il a construite lui-même, au bord de l’étang de Walden, Massachusetts. Il ne doit plus sa vie qu’au travail de ses mains. C’est là qu’il commence à écrire Walden, grand classique de la littérature américaine, hymne épicurien, souvent loufoque, à la nature, aux saisons, aux plantes et aux bêtes, toutes choses et tous êtres qui ne sont, selon les propres dires de Thoreau, que «l’envers de ce qui est au-dedans de nous».

 

Citations :

« Simplicité, simplicité, simplicité ! Je vous le dis, n’ayez que deux ou trois affaires en cours, et non des centaines ou des milliers…

Au milieu de cette mer agitée de la vie civilisée, il faut affronter tant de tempêtes et de sables mouvants que l’homme qui réussit à survivre sera certes un navigateur avisé pour ne pas sombrer par le fond et pour arriver enfin à bon port. Simplifiez, simplifiez ! »

 

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