Comment exprimer notre colère sans violence

Quand nous nous mettons en colère (ou que la colère nous submerge), il nous est presque impossible de raisonner. Ceci car le cortex préfrontal, siège des fonctions supérieures de notre cerveau, est déconnecté par notre amygdale (siège des émotions). Nous sommes dans un schéma d’attaque/défense incompatible avec une quelconque discussion et encore moins à de la logique.

Cela implique en effet que nous réagissons alors instinctivement et parfois violemment. Ces situations mènent à des conflits et des regrets, plus tard. Et la colère n’est pourtant pas libérée car sa cause n’est pas encore traitée. Elle resurgira donc à un moment ou à un autre.

Nous pouvons cependant considérer la colère comme une énergie qu’il est possible de canaliser en apprenant notamment à communiquer de telle façon que l’issue d’une crise de colère soit constructive, c’est-à-dire qu’elle débouche sur des solutions et de l’écoute.

Pour cela, tentons de court-circuiter les comportements automatiques de défense en marquant une pause pour respirer et reprendre nos esprits et utilisons le « je » au lieu du « tu » en nous exprimant.

Voici quelques exemples donnés par Yves-Alexandre Thalmann dans son « Petit cahier d’exercices pour vivre sa colère au positif ».

 

 

À lire pour mieux vivre sa colère :

 

Petit cahier d’exercices pour vivre sa colère au positif de Yves-Alexandre Thalmann disponible sur amazon.fr, cultura.com, decitre.fr

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