Ce que nous mangeons conditionne notre efficacité : voici les conseils pour optimiser nos habitudes alimentaires

Vous êtes peut-être sur le point de passer à table pour déjeuner ou dîner. C’est le moment idéal pour partager avec vous cet article de Ron Friedman publié dans la Harvard Business Review qui nous donne de précieux conseils sur nos habitudes d’alimentation. A la clé, une promesse d’efficacité qui vous permettra de rentrer plus vite chez vous si vous êtes au bureau.

Intéressé ?

Ce que nous mangeons affecte directement notre productivité. Les aliments impactent nos performances cognitives.

Selon notre choix au déjeuner, nous serons plus ou moins efficaces dans les heures qui suivent.

Nous transformons ce que nous avalons en glucose qui fournit de l’énergie à notre cerveau. Un déficit de glucose est à l’origine d’une baisse d’attention et de concentration.

C’est pour cette raison que nous avons du mal à nous concentrer avec l’estomac vide.

Les aliments ne sont pas traités de la même manière par notre organisme.

Par exemple, les pâtes, le pain, les céréales libèrent leur glucose rapidement et cela provoque un sursaut puis une chute d’énergie.

Les repas riches en graisse fournissent de l’énergie soutenue mais sollicitent beaucoup plus notre systèmes digestif. Le niveau d’oxygène dans le cerveau diminue, nous plongeant dans une sorte de somnolence.

Comment éviter de céder aux sirènes du fast-fooding ?

Nous savons bien entendu que l’alimentation saturée en graisse n’est pas bonne pour la santé (et pour notre productivité). Elle est cependant beaucoup plus appétissante et moins chère…

Pour ne pas céder à la tentation de cette alimentation peu équilibrée, Ron Friedman nous livre quelques conseils avisés :

– n’attendez pas d’avoir faim pour manger

– pour cela, grignotez sainement tout au long de la journée (amande, noix, fruits…).

– rien ne vaut le fait-maison : emportez votre repas que vous aurez préparé la veille.

– mangez en pleine conscience (ne faites que cela)

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