Comment les étiquettes influencent des vies entières
Je souhaitais tout d’abord citer Isabelle Filliozat à propos du thème de cet article : les étiquettes. (via « il n’y a pas de parent parfait« )
« Nous avons beau aimer nos enfants parce qu’ils sont nos enfants, quand ils nous exaspèrent, nous paraissent incompréhensibles ou tout bonnement insupportables, le risque de poser sur eux étiquettes et jugements est alors élevé.
Les définitions « il est lent », « il est hyperactif », « il est… » constituent une tentative de lutte contre la blessure narcissique. C’est pour le parent une manière de faire porter à l’enfants la responsabilité de ce qui arrive et par là de s’en dégager. Hélas, ce faisant, l’adulte éloigne l’enfant de son coeur. En outre, les enfants ont tendance à répondre aux définitions que nous leur donnons d’eux. Ils se conforment à nos attentes ! Leur cerveau interprète nos commentaires et jugements comme des ordres. Si le parent le dit, c’est que c’est ainsi qu’il doit se comporter… »
Et ceci a tendance, au fil du temps, à forger une identité…d’autant que les parents ne sont pas les seuls à étiqueter…
« En changeant les étiquettes, on peut modifier les réalités ».
Dans l’intervention suivante, Tihamer Wertz, psychothérapeute, nous alerte sur la contagion des étiquetages et autres stéréotypes dans l’éducation, la santé, la vie quotidienne….Il nous donne aussi des pistes pour stopper cette épidémie…et remettre en cause les étiquettes qu’on nous a collées…
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