Un film d’animation émouvant sur la solitude des personnes âgées
Tout au long de l’année (et particulièrement pendant les fêtes de fin d’année), de nombreuses personnes âgées sont esseulées et souffrent de solitude.
Une association anglaise (Re-engage) a diffusé un film d’animation émouvant à ce sujet. Leur mission est de venir en aide aux personnes âgées en difficulté du fait de leur isolement en les appelant par téléphone. Le voici :
Après quelques recherches, il s’avère que des associations françaises permettent aussi à des bénévoles volontaires de passer des appels pour lutter contre la solitude de nos aînés comme l’association Au bout du fil .
J’attire aussi votre attention sur l’initiative des Petits Frères des Pauvres avec l’action « Solitud’écoute« .
Si vous connaissez d’autres projets de ce type, merci de laisser un commentaire ou de m’écrire via le formulaire de contact.
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Je pense qu’il faut faire un distinguo entre la personne qui EST seule et celle qui se RESSENT seule, (et qui peut très bien vivre en couple, par exemple, mais sans communication Je me suis senti vieille et seule à 20 ans, (je jure que c’est épouvantable et que j’ai pensé en finir plus d’une fois, car personne n’est dans cette situation),alors que je me sens trentenaire à 77 ans… et que j’écris sur l’optimisme!
Entre les deux, il y a eu une psychanalyse, une orientation professionnelle différente et une rupture familiale… qui s’est partiellement remise en ordre, mais à très petite dose et toujours prête à prendre le large. Le reste de la famille élargie, ceux de mon âge comme les descendants, se débattent entre addictions, soucis psychiatriques et couples improbables le tout estimé à « pas de chance »
En clair, il y a des structures de personnalité qui impliquent la solitude, à commencer par « je vais faire comme on me dit, pour avoir la paix ». La paix, ils ne l’auront jamais, ayant camouflé leur personnalité et leurs rêves dans des conduites qui ne leur correspondait pas. C’est d’ailleurs ce que démontre une infirmière en soins palliatifs, quand la plupart des malades lui disent: « je n’ai pas eu la vie que j’aurais voulu avoir »
Bien sûr qu’un coup de fil est louable, mais ça ne règle rien et, de plus, l ‘optimisme me parait venir de l’intérieur et est basé sur l’échange, pas sur une prise en charge minimale. En outre, nombre de savoirs faire ne se transmettent plus et peut-être y aurait-il un état des lieux à faire pour voir comment ces personnes pourraient être valorisées et (re)trouver confiance en elles pour mieux s’orienter par la suite, vers des activités et des partages qui leur font chaud au cœur…