Les 3 piliers de la consolation
Dans son livre, « consolations », Christophe André nous donne les 3 piliers de cette consolation. Les voici.
« Voilà six ans, je suis tombé malade, gravement. Comme toutes les personnes menacées par la mort, j’ai trouvé que la vie était belle. Et j’ai découvert que j’avais un besoin immense de consolation. J’ai songé à ceux de mes patients qui revenaient me voir, même quand je ne pouvais les guérir. Et j’ai compris que je leur apportais peut-être alors une douceur, une fraternité, qui les aidait : une consolation. Bien plus qu’un réconfort passager, la consolation est un moyen de vivre avec les orages. Comme un fil rouge, elle court tout au long de notre vie et nous remet en lien avec le monde. »
Peut-on apprendre la consolation ? Pourquoi est-ce parfois si difficile de l’accepter, si délicat de la proposer ? Comment la nature, l’art, l’action nous consolent-ils ? Pourquoi les liens sont-ils de si puissants remèdes ? Christophe André nous répond dans ce livre consolateur, le plus intime et le plus émouvant de tous ses ouvrages. » Christophe André
La consolation offerte s’appuie sur trois piliers :
- la présence (« Je suis là, avec toi, je reste là, je ne te quitterai pas tant que tu auras besoin de moi… »),
- le soutien affectif (« Je t’aime, tu comptes pour moi, et je veux alléger ta peine… »),et
- le soutien matériel (« Je vais te simplifier la vie, de mon mieux… »).
La première est faite d’un silence habité, incandescent. Le deuxième, de paroles simples. Le troisième, de gestes attentionnés et discrets (car il s’agit de ne pas faire peser la nécessité de reconnaissance ou de remerciements sur la personne que l’on console). Puis il y a tout le reste…
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