L’oubli et ses vertus
Et si l’oubli était la clé du bien-être ?
Pourquoi oublie-t-on et surtout pourquoi DOIT-on oublier ?
Le psychologue Simon Daniel Kipman vogue à contre-courant et vante les mérites d’un oubli salvateur.
L’auteur précise que l’oubli est un acte inconscient et que les tentatives conscientes de refoulement d’un souvenir ne le feront pas disparaitre. Il reviendra sous une autre forme telle que la phobie ou une pathologie quelconque. Mieux vaut l’affronter pour mieux l’oublier et ainsi favoriser le lâcher-prise.
Je vous laisse découvrir l’interview de Simon Daniel Kipman :
Présentation de l’ouvrage :
À l’heure où l’on ne parle que de mémoire, collective ou individuelle, de remémoration et de célébration, quelles sont les
forces positives de vie, de lien, de contact, propres à l’oubli ? Simon-Daniel Kipman, psychiatre et psychanalyste, interroge la signification de nos oublis : que nous montrent-ils et que nous cachent-ils ?
Que découvrons-nous à force de chercher des mots insaisissables, des instants dont le souvenir s est évanoui?
Indice précieux et indispensable, il prend sens dès lors qu il est décrypté dans sa forme ou dans sa fonction. Aussi est-il essentiel de le déceler, tant pour comprendre son fonctionnement psychique que pour améliorer nos méthodes thérapeutiques. De la petite enfance au deuil, ce livre passionnant, qui aborde également le culte de la mémoire et de la remémoration systématique, est un éloge de l oubli dans sa fonction vitale. Mécanisme psychique constant et massif, il nous empêche d encombrer notre mémoire forcément limitée, libère la pensée, favorise l innovation et stimule la curiosité.
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