La psychologie positive du choix
« Nous estimons qu’avoir le choix est une forme de liberté, et que la liberté mène au bien-être. » écrit Ilona Boniwell dans une tribune sur le magazine Psychologie Positive Magazine.
Il est vrai que prendre conscience de nos choix possibles est essentiel pour mieux vivre. Cela donne un sentiment de pouvoir sur notre existence. Mais il est aussi important de ne pas avoir trop de choix car alors, le dilemme est immense, causant plus de doute que de certitude, plus de stress que de sérénité, plus de regret que de contentement.
Selon l’auteure, face aux choix, il y a deux écoles en réalité :
- ceux qui cherchent la satisfaction simple de leur besoin (les satisfaiseurs)
- ceux qui veulent faire le meilleur choix, trouver la bonne recette,… (les maximiseurs)
Les premiers sont en moyenne plus heureux que les seconds même si leur réussite matérielle est souvent moindre.
Quoi qu’il en soit, il est possible de placer le curseur à un juste milieu en suivant ces quelques conseils :
- Apprenez à choisir uniquement lorsque cela en vaut la peine : pesez le choix en fonction de l’enjeu global, de l’adéquation avec vos besoins, et ne perdez pas de temps sur des décisions peu importantes. Une bonne astuce consiste à interroger vos émotions : là où vous en ressentez le plus, le sujet est important.
- Pour les décisions peu importantes (comme choisir un shampooing), optez pour une solution convenable et ne cherchez pas LA bonne affaire absolument (+évitez les publicités télé pour y voir plus clair)
- Modérez vos attentes et n’espérez pas la perfection.
- Évitez de vous comparer aux autres.
- Faites un choix et lâchez prise (restez dans le moment présent)
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